C e mois-ci et avec un peu de retard — les aleas une vie, tout ca…, je vous trouve pour parler ensemble de notre lecture commune pour le Club de lecture feministe des Antigones, CLFAntigones pour les intimes. C’etait Liberees !

LaviFruit / ngày 06 tháng 10/2022
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C e mois-ci et avec un peu de retard — les aleas une vie, tout ca…, je vous trouve pour parler ensemble de notre lecture commune pour le Club de lecture feministe des Antigones, CLFAntigones pour les intimes. C’etait Liberees !

de Titiou Lecoq, que vous aviez largement plebiscite, ainsi, d’ailleurs ca nous interesserait de nombreux savoir pourquoi vous avez prefere votre titre a J’ai BD de Liv Stromquist. Donc si vous avez envie de nous en dire plus en commentaire… on est tres curieuses !

Je vous parlerai ici du ressenti pendant et apres une telle lecture, et ensuite j’aurai l’honneur d’accueillir notre amie Yasmine, du blog Whatever Works, Afin de qu’elle partage son avis concernant la lecture de Les sentiments du prince Charles, la fameuse BD donc, qu’elle a lue a peu pres en meme moment que je lisais Liberees !.

Chacun pourra reellement bientot consulter l’edition speciale de l’ete sur le site d’Ophelie. Nous avons voulu partir a l’aventure et nous esperons que votre edition vous plaira bien autant que les precedentes !

Mon avis sur Liberees !, de Titiou Lecoq

Ma lecture de Liberees ! s’est deroulee en 2 temps libre : un premier hyper enthousiaste, ou j’ai ete captivee et ou j’ai appris plein de trucs, ce qui a donne lieu a de jolies discussions avec mon pas gratuit et tendre, ainsi, un autre beaucoup plus morne, ou je n’ai nullement ete transcendee trop et ou j’ai l’impression de lire un peu du bla bla super formate. Et en y reflechissant, J’me suis dit que c’etait tres revelateur et depuis, je me pose beaucoup de questions sur cette reaction ! Tout seulement parce que la toute premiere partie de votre bouquin se concentre sur le poste des jeunes femmes dans leur sphere privee — couple, famille — et la deuxieme partie, sur la place des dames dans la sphere publique, c’est-a-dire la rue, la zone d’embauche, etc.

Sachant qu’on restreint souvent ces dames a leur sphere privee et qu’on les evince une sphere publique, je ne peux pas m’empecher de tiquer en voyant que j’habite assez agacee quand une ecrivaine parle d’une place des femmes dans l’espace public… Comme si, inconsciemment, je voulais l’en evincer, lui enlever sa credibilite ou la pertinence de ses propos. Je tourne et retourne ce qui dans ma tete depuis des semaines, mais j’en reviens toujours a une telle impression peut-etre pas tres objective, je ne sais, d’avoir retire nombre environ « food for thought », de matiere a reflexion, dans la toute premiere partie que dans la seconde.

Cela vient peut-etre du fera que j’ai beaucoup lu sur la place des femmes dans la societe, ce qui veut surtout dire « dans la sphere publique » en general, ainsi, que alors tous les discours me semblent un tantinet redondants, comme si l’on lit 5 livres sur la condition animale a Notre suite. Les chiffres et nos realites ne changent pas vraiment, aussi si le premier livre ouvre le regard et marque tel une vraie revelation, le cinquieme est en mesure de avoir un arriere-gout de trop souvent rechauffe.

Cela devoile, j’ai quand meme vraiment adore la lecture : le ton de Titiou Lecoq reste assez leger, j’ai eu l’impression de lire le site d’une copine, et j’ai ete facilement captivee. Comme je le disais, j’ai beaucoup reflechi a mon couple, a Notre repartition des taches dans notre dynamique, ainsi, j’espere vraiment que c’est l’effet qu’a eue votre lecture concernant l’integralite des familles dans qui ce livre est passe. Tout simplement parce que, comme le souligne si justement Titiou Lecoq, la repartition des taches menageres ne devrait gui?re se faire « au feeling », car http://www.datingmentor.org/fr/fitness-singles-review/ votre feeling reste rarement equitable ou juste. Ca vaut finir de s’y pencher, au moins un coup, serieusement et formellement.

Le gout du menage

Un thi?me m’a particulierement marquee : l’idee recue d’apres laquelle les femmes aimeraient particulierement Realiser le menage, au contraire des hommes. En discutant avec Mathieu, on a souleve un lievre incroyable : meme en tenant 1 discours feministe, on va pouvoir se laisser aller a donner du credit a une telle initiative recue. Alors que je lisais le passage concerne, il disait : « Mais avec l’education des filles fortement tournees vers le menage, etc., on voit forcement des femmes qui aiment vraiment le menage, jamais par gout inne mais par construction sociale, mais ca les apaise vraiment ! ». Il me disait ca parce que lui-meme voit que Realiser la vaisselle est apaisant, entre autres, tandis que pour moi c’est vraiment une corvee (devinez qui fait la vaisselle chez nous ?).

Et si d’un cote c’est vrai, en poursuivant ma lecture, j’ai eu diverses interrogations :

  • Est-ce que c’est normal d’etre apaisee par la vaisselle ? C’est-a-dire : si ces dames pouvaient Realiser n’importe quoi d’autre qu’une tache menagere concernant s’apaiser, choisiraient-elles quand meme le menage ? Notamment, si elles avaient vraiment un moment pour elle ?
  • Est-ce qu’etre apaisee par la vaisselle est une agreable raison pour se taper tout la vaisselle ?

Titiou Lecoq specifie plus loin dans le paragraphe que cet argument, d’ailleurs, ne tient pas la route : parmi nos personnes disant detester le repassage (qui reste, sans trop de surprise, la corvee menage la plus desagreable concernant ces dames comme pour nos hommes), seuls 14% des hommes s’y adonnaient quand aussi, contre 66% des jeunes filles. Manque d’excuse Afin de mettre ca dans le dos d’un gout certain concernant le menage !

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